Les nouveaux faussaires (un Goya en contrebande)


Les nouveaux faussaires, illustration d'un texte de Hélène Maurel-Indart, dans Le Monde daté du 16 avril 2013.

Ça arrive. On tombe parfois sur un thème particulièrement stimulant à illustrer: L'affaire du Grand Rabbin de France, les auteurs et leurs nègres, les éditeurs qui ne lisent plus ce qu'ils publient. Les emprunts, les plagiats, la haute image dont jouit encore l'écrivain en France... tout ça, ça me parle.
Après avoir cherché différentes idées (fig.1), je me suis tourné vers Goya (fig.2), que j'ai à mon tour repris (fig.3). Ce n'est pas un détournement comment on les aime en France, mais une reprise, comme un chanteur reprend un vieux tube dans le métro.
J'ai toujours aimé ce Capricho. Vous n'avez pas l'impression, parfois, de vivre dans une société de perroquets?

Fig.1

Fig.2
Fig. 3

Los nuevos falsificadores, por Hélène Maurel-Indart, en Le Monde del 16 de abril de 2013. 
Sucede: A uno le toca a veces ilustrar un tema que lo inspira. El caso del Gran Rabino de Francia, de los escritores y sus negros, de los "homenajes" y robos entre escritores, el caso de los editores que no leen lo que publican, y de la alta imágen que tienen en Francia de los escritores. Todo eso me inspira.
Luego de haber buscado algunas ideas (fig.1), fuí hacia Goya (fig.2), del que me inspiré, o al quien dediqué yo también uno de esos homenajes (fig.3). No es un détournement, que tanto les gustan a los franceses, sino una suerte de "cover", como los que hacen los cantores del subte. Siempre me gustó este Capricho. ¿No tienen a veces la sensación de vivir en una sociedad de loros? 

Commentaires

  1. Merci pour ce cheminement, grace à la fig.3, on peut aussi visualiser les sous-couches, qui promettaient d'etre aussi inspirées. Mais j'aime beaucoup le dessin final qui inclue plusieurs directions à la fois, very well done.

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