Le Sombreur et Thomas Bernhard
"Aux yeux de Glenn, Wertheimer était le sombreur parce qu'il sombrait toujours et sans discontinuer", dit Thomas Bernhard dans "Le naufragé". Le sombreur donc, qui s'affaisse puis se redresse un peu, qui gonfle ou se dilue dans le décor, mais ne quitte jamais son poste de sombreur.
Le sombreur à Zizers, ou la chambre double. Encre de chine et café sur papier. Tous les posts sur Recherche personnelle ici.
/// "Para Glenn, Wertheimer era el hundidor porque se hundía siempre y sin parar", dice Thomas Bernhard en "El naúfrago". El hundidor entonces, que se hunde y se recompone luego un poco, que se infla o se diluye en el decorado, pero nunca deja su puesto de hundimiento.
El malogrado en Zizers, o (una nueva version de) la habitacion doble. Tinta china y café sobre papel. Todos los posts sobre Búsquedas personales aquí.
Tiene más aire. ¡Fantástico!
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