Bête à gravats


Mon premier roman, Bête à gravats, publié chez Alma éditeur, sera demain en librairies. Je vous invite à fêter cette sortie par une rencontre qui aura lieu demain même, vendredi 7 avril, à 19h30, à la librairie Le pied à terre, 9 rue Custine, 75018, métro Château-Rouge (où sinon?).

Pas facile de parler de son livre, d'un premier roman, où il y a un dessinateur, argentin, et des personnages qu'il a côtoyé il y a vingt ans à Paris, dans le monde des chantiers. Mieux vaut laisser parler la quatrième de couverture. C'est pour ça qu'on la paie.

"Des bazars du boulevard Magenta à la bibliothèque de Beaubourg, le dessinateur argentin cherche sa porte d’entrée dans Paris, peut-être cachée quelque part entre un magasin de robes de mariées, un cinéma porno et un théâtre transformé en magasin de chaussures. Il atterrit finalement dans les chantiers. Rien d’exceptionnel à ça, raille la Tchèque (qu’on appelle la Polonaise) : tout le monde a fait les chantiers, même le Chilien (qu’on appelle le Cowboy). Mais un dessinateur ne se transforme pas en maçon ni en bête à gravats du jour au lendemain."

Que est-ce que pourrais rajouter? Quelques questions, peut-être:

Comment apprendre à faire des trous dans les murs ? Quelle langue parlent les outils ? Comment regarder les oreilles dans le métro ? Qui est le Roi du carrelage ? Que fait Rembrandt sur le boulevard Ornano ? À quel saint se vouent les apprentis maçons ? Pourquoi la Polonaise n'a pas de nom ?

 

 

/// Mi pimera novela, Bête à gravats (Bestia de escombros), publicada por Alma éditeur, sale en librerías. Los invito a festejarlo mañana mismo, 7 de abril, con un encuentro en la librería parisina Le pied à terre, 9 rue Custine, 75018, métro Château-Rouge.

Difícil hablar de su propio libro, de una primera novela, donde hay un dibujante argentino y algunos personajes que conoció en el mundo de los albañiles en París ; quizás mejor dejar hablar la contratapa, que para eso está, sabiendo que como siempre, es sólo la punta del iceberg...

"De los bazares del bulevar Magenta a la biblioteca de Beaubourg, el dibujante argentino busca su puerta de entrada en París, tal vez escondida en alguna parte entre un negocio de vestidos de novia, un cine porno y un teatro convertido en zapatería. Aterriza finalmente en la construcción. Nada excepcional en eso, se burla la Checa (conocida como la Polaca): todo el mundo a trabajado en las obras, incluso el Chileno (conocido como el Cowboy). Pero un dibujante no se transforma en albañil ni en bestia de escombros del día a la mañana."

¿Qué podría agregar? Algunas preguntas, a lo mejor: 

¿Cómo aprender a hacer agujeros en las paredes? ¿Qué idioma hablan las herramientas? ¿Cómo mirar las orejas en el subte? ¿Quién es el Rey de los Azulejos? ¿Qué hace Rembrandt en el bulevar Ornano? ¿A qué santo se fían los albañiles debutantes? ¿Porqué la Polaca no tiene nombre?

Commentaires

Articles les plus consultés