Dernières images de Harry Powers
The Waiting Scènes, I bis (de la série Harry & the helpless children). Gravure à l'eau-forte sur zinc. 33x43cm, 2011.
L'affaire Harry F. Powers en 1931, que la presse appela "L'affaire de Park Ridge", ou celui du "Barbe-Bleue américain", ou encore "Le crime de Quiet Dell", inspira l'écrivain David Grubb pour son roman The Night of the Hunter (La nuit du Chasseur, 1953), devenu un classique du cinéma depuis, porté à l'écran par Charles Laughton en 1955, et où un excellent Robert Mitchum donne vie à un psychopathe nommé Harry Powell.
Pour ma part, je me suis inspiré d'abord d'une photographie, trouvé dans un livre dédié aux faits divers américains, où l'on voyait Harry Powers et le policier qui venait non seulement de l'arrêter, mais de forcer à avouer. Ce deux éléments seulement m'ont servi de fil conducteur pour la suite d'images que j'ai produit: la figure du coupable et son maître, celui qui l'oblige à se dévoiler, à se présenter devant la société. Le mal, la faute, et son juge.
Quand j'avais une centaine de dessins autour de cette photographie, j'ai commencé l'enquête, en fouillant les archives des journaux américains. C'est là que j'ai découvert que Harry Powers n'était autre que l'inspirateur de la fameuse scène du "Hate/Love" dans le film.
.................................................................. Pour ma part, je me suis inspiré d'abord d'une photographie, trouvé dans un livre dédié aux faits divers américains, où l'on voyait Harry Powers et le policier qui venait non seulement de l'arrêter, mais de forcer à avouer. Ce deux éléments seulement m'ont servi de fil conducteur pour la suite d'images que j'ai produit: la figure du coupable et son maître, celui qui l'oblige à se dévoiler, à se présenter devant la société. Le mal, la faute, et son juge.
Quand j'avais une centaine de dessins autour de cette photographie, j'ai commencé l'enquête, en fouillant les archives des journaux américains. C'est là que j'ai découvert que Harry Powers n'était autre que l'inspirateur de la fameuse scène du "Hate/Love" dans le film.
maestro esto esta buenisimo
RépondreSupprimersalute